QUAND PARIS SE MET EN COLERE

A évènement exceptionnel, sortie de doigts exceptionnelle (pour les poser sur un clavier et rédiger un article, bien-sûr)

Donc, le Paris Saint Germain a enfin atteint son principal objectif, qui était de décrocher une première fois la célèbre coupe aux grandes oreilles. Perso, je dis bravo et je m'en réjouis. Certes, compte tenu des années d'investissements des propriétaires Qataris, ça fait cher du gramme de coupe, mais le jeu en vaut la chandelle si j'en crois les gains générés par cette victoire.

Mais ensuite, je ne comprends pas les tristes sires et les fâcheux qui souhaitaient absolument la défaite du PSG. La légende et certains médias s'ingénient à dresser les certains Uns contre certains Autres (ami Marseillais qui me lit, je pense à toi) mais au final, c'est le football français qui gagne non ? J'irais même jusqu'à dire que j'aurais pris plaisir à voir gagner n'importe quel bled du territoire. Et même... Ah, ah... Tu croyais que j'allais tomber dans le piège ?

En tout cas, je pense que tout le monde de reconnaitra, la finale a duré 15 minutes, l'Inter étant bizarrement inoffensif. Je ne dis pas "mauvais" comme j'ai pu le lire et l'entendre ici et là. Non, je dis "inoffensif" parce que les joueurs Parisiens ont littéralement anesthésiés les Milanais. Ces derniers pourront tous raconter le match, sans avoir l'impression d'y avoir participé.
Alors oui, l'Italie rappelle un très mauvais souvenir aux supporters du foot français, le jour où Zizou est sorti de sa tête pendant 3 secondes, mais le but de Boli en 93, le but en or de Trézégol en 2000, et le... (oups) les 5 buts de ce 31 mai, dai, dai, è solo felicità! (Allez, allez, c'est que du bonheur !)

Vive le foot français.