Pas malheureux les Glasgow

On m'a toujours dit quand on prend une gifle, tendsl'autre joue, et lyon a appliqué ce dicton ce soir!!!!!!!

Dans un Gerland plein et survolté, les lyonnais accueuillent les Glasgow pour tenter d'effacer la gifle de Barcelone.

Les lyonnais entament le match tambour battant, avc un gros pressing et de bonnes intentions, mas voilà pour le 50ème match de LDC pour Govou, ils doivent s'incliner 3-0.

Ce soir rien ne sourrit aux lyonnais, un coup franc de juni sur le poteau, et une frappe de juni et benarfa aussi sur le poteau, deux frappe de juni boxé par le gardien, et trois  frappes, trois occasion et trois buts pour les écossais, 100 % de réussite......

Pourtant on peut pas dire que lyon n'a pas essayé, et  fait un mauvais match, mais qu'elles erreurs de débutant en défense, qui coûte très chèr à vercoutre qui cherche 3 fois le ballon dans ses filets, maist pourtant les écossais n'ont pas montrés grand chose....

Les écossais ont joué en défense, et les lyonnais se retrouvais a plusieurs reprise a 8 en attaque, mais sans aucune réussite...

Un bilan très lourd 2 défaites ,0 but marqué et 6 encaissés, et comme le dit juni, va falloir se battre pour la troisième place pour au moins jouer l'Uefa, une coupe que le lyonnas n'ont jamais joués , car faut etre réaliste même si c'est possible, lyon ne passera pas cette saison, il faudrait aller gagner au glasgow et battre le barça a domicile et en plus avec 4 buts d'écarts, puisque le goal average particulier compte......En s'imposant , bien sûr, dans la double confontation face a Stuttgart.

Comment perdre un match comme çà, en dominant de cette façon, y a des soirs comme çà, ou rien ne va, en même temps tout est posible, et faut y croire encore a l'exploit lyonnais.
Vraiment l'absence de cris et coupet fait très mal.......

Le calendrier ne leur est pas favorable avec un déplacemet a Bordeaux, a stuttgart, réception de Monaco, et déplacement a Paris, là on en saura plus sur les qualités de cette équipe et si elle a les ressources pour se relever.

Une grosse pression d’entrée, énormément de rythme pour tenter de faire vaciller un bloc écossais que l’on attendait très compact. Acculé, sevré de ballons, les Rangers courbaient l’échine sans rompre mais surtout sans trembler. Car il y avait toujours une jambe pour contrer les frappes de Baros (10e) et Benzema (20e). Parfaitement organisé, d’une étonnante sérénité, les Ecossais se permettaient même de mettre le nez à la fenêtre mais Réveillère était plus prompt que McCulloch (8e) avant que Cleber Anderson ne mette en échec Cousin d’un tacle rageur (14e). Le danger était palpable et sur un corner de Beasley, McCulloch, libre de tout marquage, catapultait le cuir au fond des filets (0-1, 23e) et refroidissait Gerland. KO debout, l’OL tentait de repartir de plus belle et arrosait gaiment la cage de McGregor. Sauf que les pigeons en prenaient pour leur grade. Ni Juninho (28e), ni Baros (29e), ni Källström (39e) n’attrapaient le cadre. Le sextuple champion de France poussait, les coups de pied arrêtés se multipliaient… mais les Rangers se montraient intraitables dans les airs. Seul la patte magique de Juninho sur coup franc mettait en difficulté McGregor (32e). Le Brésilien touchait même du bois dans les arrêts de jeu (45e+2).

Après une frappe puissante de Juninho qui rasait le poteau de McGregor (47e), Daniel Cousin se chargeait d’infliger un énorme coup de massue sur les têtes rhodaniennes. L’ancien Lensois héritait du ballon dans la surface, pivotait et fusillait Vercoutre, tranquillement (0-2, 48e). Le froid réalisme écossais contrastait avec la maladresse des Lyonnais à l’image de Baros qui manquait complètement sa reprise dans une position idéale (51e). Le retour de bâton allait être terrible avec Beasley qui profitait d’une passivité incroayble de la défense locale pour s’en aller battre un Vercoutre scotché de manière incompréhensible sur sa ligne (0-3, 53e). Abattu, résigné, Lyon tentait bien de sauver l’honneur. Mais l’envie n’y était plus. Face à des Rangers qui fermaient désormais la boutique, Bodmer croisait trop sa tête (57e) sous les sifflets de Gerland, Govou dévissait complètement sa frappe (68e) tandis que Juninho touchait une deuxième fois du bois sur un tir puissant du gauche (70e). Quand ça ne veut pas… Ca ne veut vraiment pas puisque après une magnifique parade de McGregor sur un missile de Ben Arfa (83e), Cleber Anderson plaçait sa tête sur la barre (84e). Un véritable cauchemar. Les 8es de finale s’éloignent…